Clap de fin pour le projet SARBIVOR !
La fin du projet SARBIVOR marque la publication de plusieurs documents.
Le projet SARBIVOR (Sol, Arbre, Herbivore), mené en partenariat avec Elvea Hauts-de-France, Peri-G, AgroFourrages et Sol Agronomie Innovation, explorant les synergies entre éleveurs et céréaliers dans les Hauts-de-France, touche à sa fin. Plus de trente agriculteurs ont participé activement, et de précieux retours d’expérience et synthèses de données ont été produits. Les livrables finaux sont désormais disponibles en ligne. Merci à tous nos partenaires et participants pour leur engagement et leur contribution à cette initiative innovante !
Les haies fourragères : un atout pour nos fermes et notre planète
En fournissant une source durable de nourriture pour le bétail, les haies fourragères jouent un rôle crucial dans la résilience des systèmes agricoles. Elles aident ainsi à atténuer les effets du réchauffement climatique en élevage.
Elles contribuent également à :
- la promotion de la biodiversité
- la séquestration du carbone
- la réduction de l’érosion des sols
Pour en savoir plus, découvrez le retour d’expérience d’Adrien Messéan, éleveur et botaniste dans l’Aisne. Consultez également la synthèse des données produite sur le sujet dans le cadre du projet SARBIVOR.
Couverts végétaux et partenariat entre éleveurs et céréaliers
Les couverts végétaux participent à l’amélioration de la santé des sols en augmentant la matière organique, en fixant l’azote et en réduisant l’érosion. Le pâturage de ces couverts par les animaux optimise l’utilisation des ressources et offre une alimentation supplémentaire pour le bétail. Cette collaboration entre éleveurs et céréaliers permet d’optimiser la rotation des cultures, de réduire les besoins en engrais chimiques et de favoriser une agriculture plus résiliente et durable face aux défis environnementaux.
Consultez le retour d’expérience d’une collaboration accompagnée par Péri-G dans le cadre du projet SARBIVOR. Une synthèse des données sur les couverts végétaux suivis à cette occasion a également été réalisée.
Pâturage itinérant : une solution durable pour les fermes céréalières
L’intégration de moutons dans une ferme céréalière favorise un système agricole plus résilient et équilibré, où le troupeau pâture les résidus de culture et les couverts végétaux qui viennent enrichir le sol en matière organique. C’est une méthode efficace pour restaurer la fertilité des sols grâce aux déjections animales, réduisant ainsi la dépendance aux engrais chimiques. De plus, cette méthode optimise l’utilisation des ressources, améliore la biodiversité et offre une nouvelle source de revenus pour les céréaliers.
Retrouvez le retour d’expérience de Pierre Pujos, agriculteur à Saint-Puy dans le Gers (32) et découvrez comment le pâturage itinérant a transformé son exploitation.